mardi 9 décembre 2014

Le 8 janvier 2015


1 commentaire:

Tieri Briet a dit…

Lisant les Monologues de la boue, j'ai l'impression de me perdre. Aux premières pages, cartes et boussoles sont devenues inopérantes mais j'accepte : en lisant je dois accepter de me perdre, de faire confiance à celle qui écrit. Une expérience inhabituelle et proche de l'abandon. Je redeviens un va-nu-pieds dans la fin de l'enfance, ma propre langue touchée par une autre écriture.